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Tout d'abord, le câblage du Solarlog 1000 n'est pas clairement expliqué dans les notices d'installation (mauvaise traduction de l'Allemand vers le Français). Il faut connecter le bus RS485 des onduleurs sur le port RS485-A, et le bus de la SensorBox sur le port RS485-B. Ne pas oublier de configurer correctement les cavaliers RS485 de chaque onduleur.
Le bon fonctionnement des 2 bus se manifeste par les 2 lumières vertes sur l'afficheur : Le process de reconnaissance des onduleurs et des sensors se termine par cet affichage : Les données peuvent être visualisées graphiquement sur le portail de Solarlog : Malheureusement, la température ambiante et la vitesse du vent ne s'affichent pas : Il m'a fallu effectuer des modifications dans 2 fichiers sur le portail Voici alors le résultat : Le volume de données transmises par le module GPRS n'a pas du tout été optimisé par Solarlog, leur priorité ayant été visiblement de minimiser la charge processeur de leurs serveurs. Le volume transmis est donc bien plus important que ce que l'on pourrait penser. Voici le contenu de ce qui est transmis à chaque envoi: Soit 217 Ko par envoi, alors que seules une partie des données du fichier quotidien de 29 Ko ont changé entre 2 envois. Avec une programmation optimisée et un peu de charge CPU sur leurs serveurs, le volume pourrait être réduit très facilement à 6 Ko par heure, avec un envoi toutes les 10 minutes. Cela aurait représenté 144 Ko par jour (4.5 Mo/mois), mais à cause de leur programmation inadaptée, cela représente en réalité 29 Mo par jour (presque 1 Go/mois)! Quel gâchis!!!
La configuration pour l'envoi des e-mails :
Je peux aussi transférer les données du serveur Solarlog vers mon PC. Les fichiers au format JS sont illisibles sur Excel. J'ai donc écrit une petite macro Excel qui converti les fichiers au format CSV, qui peuvent alors être lus par de nombreux logiciels (dont Excel). Il faut modifier la page des onduleurs pour configurer les alertes de dysfonctionnement, ainsi que l'échelle graphique pour un affichage correct des courbes de production. On trouve les bonnes valeurs après quelques essais.
Si pour un raison quelconque un mauvais chiffre de production a été enregistré, la valeur peut être saisie manuellement à postériori dans la zone de correction des données. La répartition par onduleur est automatique
J'ai eu des bugs récurrents avec mon Solarlog 1000 : des onduleurs qui n'enregistraient pas leur production pendant 24h, et l'enregistrement d'une pointe de production fictive tôt le matin, et parfois le soir : J'ai installé un nouveau Firmware version 2.6.0-42, et ces problèmes ont été résolus.
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